
Trioworld lance un substrat contenant 60% de résine régénérée dont 51% de PCR. -
Trioworld lance une nouvelle référence de film pour les machines de banderolage automatiques dans la gamme Trioloop. Extrudée et soufflée, elle incorpore 60 % de polyéthylène (PE) recyclé, dont 51 % de résine issue des déchets postconsommation (PCR). Ce lancement suit celui effectué en 2020 d’un film étirable manuel contenant plus de 75 % de matières recyclées, dont 51 % de PCR. « Nos films étirables soufflés nous permettent, grâce à leurs propriétés mécaniques, de répondre efficacement au maintien de charges lourdes et instables », explique Hugues Cormier, directeur commercial pour l’Europe du Sud. Le groupe d’origine suédoise propose deux autres gammes de films « durables » : Triolean, composée de substrats de faible épaisseur, et Triogreen, contenant un minimum de 25% de matière biosourcée.
Installé en Suède, où il a été fondé en 1965, Trioworld est issu de la fusion, en 2020, de Trioplast et du néerlandais AFP, spécialisé dans les films de palettisation. Le groupe fabrique des films à base de polyéthylène (PE) pour l’alimentaire, l’agriculture, l’industrie, la logistique et la santé. Trioworld réalise un chiffre d’affaires de 540 millions d’euros pour un effectif de 1200 personnes et dispose de dix usines situées en Suède, au Danemark, au Pays-Bas et en France. Dans l’Hexagone, il est présent à Ombrée d’Anjou (Maine-et-Loire) et à Saint-Ouen (Somme). Les deux sites sont respectivement spécialisés dans les films agricoles et les films pour le secteur de la santé.