Avis d’experts à l’appui, la Chambre syndicale des eaux minérales conteste les conclusions d’une étude allemande.
Emballages Magazine s’est fait l’écho, le 7 avril dernier, d’une étude menée par l’université Goethe de Francfort, en Allemagne, sur la qualité des eaux minérales outre-Rhin et leur teneur globale en hormone. Cette information amène la Chambre syndicale des eaux minérales à réagir, avis scientifiques à l’appui. En voici les principaux extraits.
« Nous tenons à vous informer que l’Institut Fédéral allemand pour l’évaluation des risques (Bundesinstitut für Risikobewertung) a remis en cause les conclusions de cette étude, contestant la méthode utilisée ainsi que l’interprétation des résultats.
L’avis de cet institut (…) indique que les substances utilisées pour la fabrication du PET ne peuvent pas entraîner d’activité oestrogénique et conclut qu’il n’y a donc pas lieu de recommander de limiter la consommation d’eau minérale naturelle en bouteilles PET. (…) l’avis du Professeur Jean-François[…]
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