
Nielsen montre que la pause liée à la crise sanitaire n’est qu’une parenthèse.
Au terme d’une période d’une crise sanitaire et d’un confinement inédits, faut-il voir le vrac à moitié plein ou à moitié vide ? Pour le compte de Réseau vrac, Nielsen a voulu en avoir le cœur net en comparant l’avant, en janvier 2020, auprès de 1840 foyers et l’après, en mai 2020, auprès de 4400 personnes. Pour Catherine Urvoy, en charge du comportement des consommateurs au sein du cabinet, « le confinement n'aura été qu'une période entre parenthèses pour le vrac, réelle alternative pour éviter les emballages ». Ainsi, 40% des foyers[…]
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