Si les matières plastiques présentent beaucoup d'avantages, elles ont l'inconvénient majeur - du moins dans le secteur de la cosmétique et du luxe - d'être trop légères. Or « le poids a été, de tout temps, associé à la richesse », souligne Jean-Michel Piron (Texen). Qui poursuit : « l'enjeu était d'inventer une matière plastique lourde dans le respect du développement durable » en évitant des lests d'alliages de métaux tels que le zamak. La solution ? Un polypropylène (PP) chargé - dit de densité 2 - dont « le prix est proche d'une matière standard ». Le résultat est « un matériau issu à 30% du pétrole et à 70% d'une matière minérale » plus proche « du plâtre que du plastique », sourit Jean-Michel Piron. De lancer : « nous sommes dans l'injection minérale ! » Au-delà de la boutade, « le PP chargé pose de réels problèmes d'abrasion du métal lors du process de production ». Un problème que la mise au point d'un nouveau compound devrait résoudre rapidement.
Le poids des polymères
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