Avec Hervé Morvan, le Sénégalais fait une cure de jeunesse.
Le dessinateur s'empare du concept en 1957 pour l'amener dans l'univers du graphisme et du personnage de bande dessinée. Deux ans plus tard, il recentre lui aussi le personnage sur le visage et la main.

En 1967, cette démarche aboutit à un écusson stylisé de «l'ami Y'a bon»
Le dessinateur s'empare du concept en 1957 pour l'amener dans l'univers du graphisme et du personnage de bande dessinée. Deux ans plus tard, il recentre lui aussi le personnage sur le visage et la main.


En 1967, cette démarche aboutit à un écusson stylisé de «l'ami Y'a bon»